哲学
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第七二回大会シンポジウム 「知識・価値・社会――認識論を問い直す」
「一般的等価性」から「非等価性」のデモクラシーへ
――フクシマの後、科学技術と社会は何をなすべきか――
松葉 祥一
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2013 年 2013 巻 64 号 p. 42-55_L5

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抄録

Jean-Luc Nancy considère la science-technologie non pas comme un moyen opératoire, mais comme notre mode d'existence, qu'il définit comme « l'équivalence générale » dans son œuvre « L'équivalence des catastrophes : (Après Fukushima) ». La science moderne a développé un système de mesure et évalue toutes les choses qui sont finalement mesurées d'après un critérium suprême : l'équivalent général c'est-à-dire la monnaie. Nancy déclare que l'accident de Fukushima a devoilé la chute de l'équivalence générale et la nécessité de la remplacer par la démocratie des inéquivalents.
Nous allons constater avec Patricia Benner, chercheur en science infirmière que la science naturelle a laisser tomber la temporalité, le contexte social, la phase pratique et la corporéité des choses. La science doit essayer de les retrouver pour lier le laboratoire et la société. La société, de son côté, doit contrôler la science par l'éthique. Ceci n'est cependant pas suffisant, parce que la science dépasse toujours ce contrôle en poursuivant infiniment « le possible ».
Il faut donc une « conférence consensuelle » coopérée par la société et la science, selon Tadashi Kobayashi. En admettant sa necessité, nous y trouvons un problème fondamendale : ceux qui n'ont pas le droit d'y participer sont préalablement enlevés. C'est précisément cette participation ou « partage » que Nancy exige pour la démocratie des inéquivalents.

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© 2013 日本哲学会
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