視野の尺度による植物社会の環境の差異 : 月山の雪田群集よりかえりみて

抄録

Le rapport entre la vie et les etats environnants est un sujet da la premiere importance in ecologie. Au point de vue de la dimension du champ visuel, macroscopique ou microscopique, ou un investigateur observe l'ecosysteme, les diverses sections se distinguent dans cette science. La dimension I, le plus macroscopique, est celle qui est geobotanique. Les associations chionophiles dans le mont Gassan se trouvent exclusivement aux cotes sous le vent, parce que la neige est chasse sur cotes contre le vent et entasse sur celles sous le vent. Voici l'exposion orographique que determine l'existence des associations elle-memes, bienqu'elle puisse etre analysee aux facteurs plus menus. Les facteurs macroscopique, les types de la terre, l'especes influentes de faune, le genre de la culture humaine sont compris dans la dimension I. Un facteur geobotanique, peut etre analyse plus minutieusement dans la dimension II, ecoligique. L'exposition orographique, par exemple, est un facteur indirect, lorsqu'on le considera precisement. Elle est un sujet compris a laquelle sont reunises la temperature de la terre, la duree d'etre sous la nelge, la quantite d'eau dans la terre en floraison etc. Un facteur ecologique doit etre mesure aux champs, tandis qu'un facteur geobotanique peut etre souvent utilise par les donnees offertes par certains organes officiels. Dans la dimension II, l'association doit etre representee par l'espece dominante ou caracteristique, car l'observation des facteurs ecologiques doivent se tenir au petit nombre de stations dans une association. Dans la dimension III, le plus microscopique, le facteurs extremement simplifie est confronte avec une fontion physiologique separee. Ainsi les etats environnants ont ete analyses d'autant plus precisement qu'un facteur physiologique est meme aux champs qu'au laboratoire. La temperature de 20℃ a la dimension I est mesure dans la station meteorologique et ne represente pas necessairement l'etat du habitat. Celle-la a la dimension II doit etre mesuree aux champs, mais elle ne designe pas toujours l'etat dans lequel la fonction vegetale elle-meme se tient. Les etats du corps vegetal eux-memes dominent directement la fonction vitale : par exemple temperature des feuilles ou des racines, pression osmotique ou pH-valeur de la seve cellulaire etc. Ce sont les facteurs physiologiques. Chacune des trois dimensions, geobotanique, ecologique et physiologique, nous entraine egalement dans la route pour ecologie, mais cette science ne peut pas exister dans une dimension. L'avancement de la recherche d'une dimension nous stimulera necessairement a nous occuper d'une autre. Les sections de l'ecologie, de la synecolgie a l'autecologie, de la phytogeographie ecologique a la physiologie ecologique, de la l'ecologie descriptive a l'ecologie experimentale, n'ont pas de differences reelles, mais ce n'est qu'une difference de forme. Il y a peu d'ecologistes qui ont comme champs de recherche ces trois dimensions. Beaucoup s'occupent en general moins de deux dimensions. Si on ne peut en traiter de plus de deux, il serait indispensable qu'un ecologiste coopere avec un autre qui a son champ de recherche dans l'autre dimension, Si on ne peut traiter qu'une dimension meme dans un laboratoire le mieux installe, il deviendrait necessire que les trois ecoles cooperent a resoudre le probleme du rapport entre la neige et vegetation.