Le pays adjoukrou, situé à 50km de l'ouest d'Abidjan, la capitale de la Côte d'Ivoire, avait traité l'huile de palme avec des Européens depuis XIX
e siècle. Cette société est organisée traditionnellement par le système de la classe d'âge. Chaque génération a sa tâche propre et le travail commune de village se divise entre eux jusqu'à présent.
Autrefois, les hommes des classes plus cadets ont dû grimper avec ceinture sur le palmier naturel pour couper des régimes. À cette époque, le jeune homme n'était pas traité comme adulte s'il n'avent pas été bon grimpeur. Après l'Indépendance, l'État a lancé le projet de développement de palmier à huile dans cette région. Les Adjoukrou ont exploité des plantations villageoises, abandonnant la palmeraie naturelle.
Aujourd'hui, les planteurs emploient totalement des mains-d'oeuvre étrangères pour leurs plantations. Les jeunes hommes qui ne savent pas couper des régimes avec la faucille, nouvel instrument de la récolte, ne veulent plus y travailler.
Nous considérons la raison de ces changements dans cet essai, en examinant l'histoire de l'utilisation du palmier et ses techniques, l'effet de l'exode rural et sa relation avec l'emploi de main-d'oeuvre.
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