フランス語学研究
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12 巻, 1 号
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論文
  • 木下 光一
    1978 年 12 巻 1 号 p. 1-16
    発行日: 1978/06/03
    公開日: 2017/09/14
    ジャーナル フリー
    Un message constitué de deux éléments d'information peut correspondre soit à un jugement catégorique, soit à un thétique selon la structure de combinaison sémantique de ces éléments (KURODA). Le jugement thétique ou simple, qui n'est pas conforme au paradigme logique sujet - prédicat, est souvent représenté en français (ainsi qu'en anglais) par d'autres constructions de surface que le type ordinaire NP + VP.
    Dans le langage parlé, le NP de cette espèce d'énoncé a tendance d'être étroitement relié au VP par le pronom relatif qui, et c'est l'expression existentielle il y a (de même que c'est, voilà), devenue un simple outil de présentation, qui sert à introduire cet ensemble des deux syntagmes, l'un nominal, l'autre verbal. D'où, Il y a quelque chose de grave qui est arrivé., expression analytique, mais plus naturelle que Quelque chose de grave est arrivé. (cf. construction anglaise : There is a kitten chasing its own tail).
    Dans le langage soutenu ou écrit, le français emploie une autre construction, synthétique cette fois : le VP doit nécessairement se charger aussi bien d'exprimer le procès que de présenter le NP. C'est sans doute la raison pour laquelle cette variante impersonnelle, du type Il est arrivé quelque chose de grave., n'est réalisable qu'avec une certaine catégorie sémantique de verbes. Bien que cette sémantèse particulière reste à préciser davantage, on peut dire, à l'état actuel de recherches, qu'elle a un rapport indéniable avec l'idée générale d'existence : « entrer en existence », « exister » ou « cesser d'exister ». (cf. construction anglaise : There rose a green monster from the lagoon. KIMBALL).
  • 泉 邦寿
    1978 年 12 巻 1 号 p. 17-34
    発行日: 1978/06/03
    公開日: 2017/09/14
    ジャーナル フリー
    Dans cet article, l'auteur entreprend de discuter les problèmes suivants :
    a) Jusqu'où la construction ne...que peut-elle étendre sa portée « restrictive » dans la structure d'une phrase ?
    b) Quelles sont les caractéristiques sémantiques de la construction restrictive à propos du problème de savoir si le sens d'une phrase est positif ou négatif ?
    L'auteur présente les hypothèses suivantes et il essaie de les étayer par des exemples et des arguments :
    1. La portée restrictive de la construction ne...que atteint les constituants que sont les constituants de même niveau (Sister-Constituents) du verbe auquel appartient ne, ou encore, ceux qui sont emboîtés dans le syntagme verbal (VP) qui contient ne. Toutefois, elle ne saurait atteindre les constituants plus élevés.
    2. L'adverbial qui se trouve immédiatement après ne...que est toujours un adverbial modifiant le verbe.
    3. Le constituant qui se trouve dans la portée restrictive doit être un constituant qui peut faire sémantiquement partie d'une catégorie quelconque, et dont j'ai appelé la caractéristique sémantique « convergente ».
    4. Ne de la construction restrictive garde toujours un sens négatif.
    5. La transformation concernant ne...que est appliquée comme suit :
    — D'abord, ajouter ne — que au verbe. (ne — que PLACEMENT)
    — Ensuite, déplacer que devant le(s) constituant(s) qui doit (doivent) être sémantiquement resteint(s). (que FLOAT)
    Cette cinquième hypothèse est une hypothèse révisée de la proposition émise par SAGAWA (1977).
  • 古川 直世
    1978 年 12 巻 1 号 p. 35-46
    発行日: 1978/06/03
    公開日: 2017/09/14
    ジャーナル フリー
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