イランでは, 科学者とイスラームが協働で環境問題対策に取り組み始めている。本発表では, 現代イランの環境分野におけるイスラームと科学知の関係性に焦点を当てながら, 自然科学分野におけるイスラーム知が専門家によって, いかにして発信され, 受容されうるかを, まずイスラーム的伝統における環境観の概観を通して, 次にイスラームと環境専門家との間で開催された環境会議の事例を通して, 検討していく。

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パーニニ文は文典Astadhyayi (A)に何らかの技術的問題点が見つかった場合,常に詳細な説明(vyakhyana)を行いその排除に努めてきた.それらの問題は基本的にパーニニ文の扱うべき課題であったが,Brhati (B)およびNyayamanjari (NM)という非文による著作にそれらが批判されている箇所が存在する.前主張としてのヴェーダ批判の文脈に現れるこの批判は,内容としては大略パーニニ文の著作,特にMahabhasyaの部分的な焼き直しに過ぎない.しかし,それらの議論がBおよびNMといった著作に取り上げられているという事実はなお一考の価値を有するものである.なぜなら,これらの議論の存在は,プラクリヤー文献と呼ばれるのAの注釈書群-これらはそれ以前の注釈書とは方法論的/性格的に一線を画する-が登場する舞台背景を我々に示し出す可能性を有しているからである.

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人類学におけるそれぞれの社会の犯罪という現象及び犯罪解決のあり方に関する研究は、その社会の文脈で語られるにとどまり、法学で議論されている「修復的司法論」との関係がはっきりしない。が語る修復的司法の意義を人類学者はどのように考えるのか。それは、ADRについて人類学者がどのように考えるのかという問いにも重なる。修復的司法とそれぞれの社会における犯罪解決のあり方との関係（「オルタナティブ」）についてどのように考えるのか法学の立場から検討する。

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Comme un des civilistes japonais, qui ont en toujours beaucoup d'intérêts à la sociologie juridique et parmi lesquelles se trouuent pas mal qui ont contriluié à son developpement an Japon.-dont j'ai explique dans mon rappart en japonais-, j'ai beancoup de chores à espérer d'elle. Cependamt, je voudrais seulement indiquer mes collègues jurirtes-sociologues japonnis deux objets de reches et porer trois questions concernant la méthode de la sociolohie juridiquo.
(1) Objets de la recherches
(a) Critique d'iddologier quise trouvent derrière les principes et les théorie do droit. Cela ne veut pas dire que les principes et théaries sont rédnites simplement à la relation sociale et économique, à liinfrastructure. Je vondrais senlement savin quolqu'uner des causes sociologiques de la formation, par exemple du principe du "volontarisme" on de l'école dite "droit et économie"', Ils sont des objets importants de la sociologie juridique qui n'ont pas bien étvdiés par les juristes-sociologues non-pmarxistes an Japon.
(b) Recherches du "droit vivant (le bendes Recht)" an Japon. Après la croissance économique du Japon depuis 1960, les juristes-sociologues, à quelques exceptions, n'ont pas en telkment d'intérêt au droit uivant dans la société japonaise qui, malgré tant, exirte toujours. En connencer rocherches me semble êtro mgent.
(2) Quelques problèmes méthodologiques
(a) D'aprèr l'opinion de queques juristes-sociologues an Japon, la recherche socio-historique des institutions juridiques n'ert par la recherche sociologigue dams le sens stnicte du mot, Ert-ce que c'ert wrai?
(b) Est-ce que l'appnoche du droit des juristes-sociologues son sens le point de une "externe" distingué du point de une "interne", en utilisunt des tesmes du Hant et Grzegarczyk? Si la réponse est oui, quelques problèmes, par lxemple la farce obligatoire du droit, semble être en dehors des champ de recherche de la sociologie juridique.
(c) En gènèral, ert-ce qu'il n'est pas juste d'espérer de la sociologie juridique des répanses aux quelques pnobliemes fordamentaux du droit, par exemple, la conscience de la légitimité du droit subjectif an le proies de l'argumentation juridique. Ert-ce qu'on doit attendre la psychologie juridique d'en poursuiure les recherches?

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Comme un civiliste, c'est-à-dire un juriste-dogmatique et non pas un juriste-sociologue, je voudrais faire trois remarques.
1) L'intérêt de la recherche de la conscience juridique des Japonais.
Il est bien naturel que je m'intéresse aux coutumes et moeurs au Japon qui sont differents des règles de Code civil importé de l'Occident. Je voudrais aussi savoir si les règles de Code civil gouvernent en vérité la vie sociale japonaise. Mais, personnellement ma principale préoccupation est plutot de découvrir les différences entre la conception japonaise et la conception occidentale du droit en générale: par exemple, la conception du contrat ou de la responsabilité civile. Car, elles concernent des plus profonds problèmes du droit comparé et même de la civilisation comparée. Je suis convaincu qu'il faut maintenant analyser l'histoire de l'occidentalisation du Japon dequis l'ère de Meiji de point de vue de juriste, et distinguer minitieusement les éléments occidentaux et les éléments originaires dans notre système et regles juridiques actuels.
2) Méthode.
Il me semble que les juristes-sociologues s'attachent, un peu trop, á la méthode soi-disant scientifique de la sondage d'opinion publique et à la méthode statistique. Mais, à côté de cette méthode, peut-être orthodoxe, il semble y avoir d'autres, plus faciles et plus simples pour nous juristes-dogmatiques. J'en proposerais deux.
La premiere est de recherches dans les arrets, dans les livres et articles des juristes, et meme dans les lois qui resemblent aux celles de l'Occident, les éléments de la conscience juridique des Japonais qui existe même dans l'esprit des juristes. On peut éspérer que sous le couvert de l'occidentalisme on en trouve quelques-uns. Deuxièmement, chacun de nous juristes, notamment le juristesociologue doit réflechir et analyser sa conscience juridique. On peut trouver, ici aussi, des elements tres Japonais.
3) Questions.
Enfin, je voudrais, comme profane de la sociologie juridique, poser nos collègues juristas-sociologues, quelques questions qui me semble être fondamentales.
Premièrement: qu'est-ce que la conception sociologique du droit subjectif que vous proposez comme l'élément essentiel de la conscience juridique?
Deuxièmement, plus primitive mais plus difficile peut-être: qu'est-ce que la conscience juridique? Quelle est la différence entre la conscience juridique et le droit lui-même?
Troisièmement: est-ce que vous pensez toujours que la conscience juridique des Japonaie est arriérée, comme beaucoup de nos juristes-sociologues disaient depuis la fin de la deuxieme grandes guerre mondiale? Si oui, quelle est la critère pour juger l'évolution de la conscience juridique des peuples d'un pays?

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