Abstract
Une redefinition des objectifs d'enseignement/apprentissage du FLE semble necessaire dans la plupart des contextes ou le francais est en perte de vitesse. Elle impose une interrogation renouvelee sur l'articulation des competences, trop souvent dependante, dans les pratiques de classe, des traditions educatives ou d'une approche communicative figee, qui font souvent obstacle a une construction raisonnee du rapport entre langue francaise et parole en francais.