Pour etudier la reconaissance par l’image, nous commencons par dire que l’image, comme une chose objective, c’est-à-dire l’image photographique, cinématographique et télévisuelle, est d’abord une tache de lumière et d’ombre ou de blanc et de noir. Alors, ne pou vons-nous pas penser qu’il y a trois étapes de l’image.
A. L’image floue : Subjectivement l’image est une tache de blanc et de noir, l’image de cette étape est chaotique. Objectivement, sur l’image parfaitment floue, on ne peut voir aucune chose. L’image n’est pas au point.
B. L’image telle qu’on en use au teste de Rorschach : l’image de cette étape parait copier ou réfléchir diverses choses. On ne peut definir ce qce représente cette image.
C. L’image de quelque chose : l’image de cette étape est la plus ordinaire.
À la première étape, toutes les images sont objectivement equivalentes, et aux poles de la tache de blanc et de noir, on trouve une image toute blanche ou toute noire.
À la deuxième étape, l’image parait représenter diverses choses, celle qu’on en use au teste de Rorschach.
À la troisième étape, l’image de photo, de cinéma et de télévision prend la forme de quelque chose.
La reconnaissance par l’image s’établit, quand on passe de la deuxième étape à la troisième étape, cela veut dire que la base de la reconnaissance par l’image se trouve dans l’instant où on prend conscience du ≪fait, pour une personne, une chose, de se trouver en un lieu détermimé≫ (défénition du ≪Présence≫ par LAROUSSE). Cet état de conscience est celui qui accepte la présence de quelque chose.
Donc, le problème le plus profond de le filmologie, c’est, pour nous, la recherche de divers aspects de cet état de conscience et d’image en face de la présence de quelque chose.
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