Kochô BABA (1869〜1940), homme de lettres, professeur à l’université Keiô, s’était consacré aux traductions des littératures occidentales.
Je me borne d’abord à considerer sa traduction des œuvres d’Alphonse DAUDET (1840〜1897). Kochô a soutenu à plusieurs reprises qu’on ne peut jamais faire la traduction et qu’on explique seulement des phrases plus en détail. Pourtant il était essentiellement traducteur. Quant à Alphonse DAUDET, Kochô a fait la traduction abrégée des œuvres suivantes ; “Les femmes d’artiste”, “Souvenir d’un homme de lettres,” “Légende de l’homme à la cervelle d’or” etc..
Puis j’étudie ici la raison pour laquelle Kochô a fait des traductions des œuvres d’Alphonse DAUDET. La relation entre Kochô et son frère, Tatsui (1850~1888), homme politique, critique, était, me semble-t-il, celle d’Alphonse avec son frère Ernest. M’étant mis donc à l’étude des phrases de Kochô touchant ce sujet, j’en arrive à la conclusion que Kochô n’a pas pris intérêt à l’amour fraternel vu dans l’œuvre autobiographique d’Alphonse DAUDET, “Le Petit Chose”,ainsi que ses deux écrivains contemporains, Syûseî TOKUDA et Katai TAYAMA, l’étaient, et il a écrit quelques articles sur Alphonse DAUDET et a traduit ses œuvres, éprouvant la communauté de son tempérament avec le sien.
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