The Journal of Biochemistry
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Print ISSN : 0021-924X
SUR LE METABOLISME DE LA CHOLESTERINE CHEZ LES COBAYES INOCULES AVEC DES BACILLES TUBERCULEUX
I. Sur le taux des cholestérines libres et éthérifiées dans le sang total du cobaye normal et du cobaye tuberculeux
K. YUSAWA
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1937 年 25 巻 3 号 p. 657-669

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抄録
Je ne tirerai ici aucune conclusion, parce que je veux étudier plus en détail les sujets suivants.
(1) A quels éléments du sang est due l'augmentation de la cholestérine dans le sang total des cobayes tuberculeux ? aux globules rouges on au plasma ?
(2) Au bout de combien de semaines commence-t-elle ? Quel rapport a-t-elle avec l'apparition de la réaction tuberculine ?
TAB. XIII.
Le résultat de la dissection du cobaye tuberculeux
(3) Dans quels organes observe-t-on l'augmentation et la diminution de la valeur de la cholestérine ?
(4) Les deux formes de la tuberculose, productive et exsudative, ont-t-elles quelque rapport avec la valeur de la cholestérine dans le sang total ?
je me bornerai à résumer comme suit mes expériences.
1. Il n'y a aucune différence entre les cobayes témoins et les cobayes tuberculeux, qui ont recu une injection souscutanée de 0.01 mg et 0.1 mg d'émulsion de bacilles tuberculeux de virulence faible. Ils ont seulement une légère altération tuberculeuse du ganglion lymphatique régional après 10 semaines.
2. Les cholestérines libres et éthérifiées dans le sang total augmentent en moyenne d'environ 27% et 40% chez les cobayes tuberbuleux qui ont recu en injection, l'émulsion de 1.0 mg de bacilles tuberculeux de virulence puissante. On constate une grave altération tuberculeuse de plusieurs ganglions lymphatiques et de plusieurs viscères dans la dissection après 10 semaines de contagion.
Ce m'est un devoir d'exprimer ma reconnaissance à M. le Professeur S. Kakiuchi de la Faculté de Médecine de l'Université Imperiale de Tokyo pour l'aide, qu'il n'a cessé de me prodiguer au cours des ces travaux. Je remereie égalemant M. le Professeur S. Sato et le Docteur K. Yanagisawa à l'Institut des Malades Infectieuse de l'Université Impérial de Tokyo qui m'ont procuré très gracieusement des matériaux précieux pour mes recherches.
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© The Japanese Biochemical Society
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