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クエリ検索: "尾藤イサオ"
3件中 1-3の結果を表示しています
  • 葉口 英子
    マス・コミュニケーション研究
    2003年 62 巻 116-133
    発行日: 2003/01/31
    公開日: 2017/10/06
    ジャーナル フリー
    The five-minute music program 'MINNA NO UTA' (Everyone's Songs), which has been broadcast on NHK since 1961, has contributed to the popularization of new children's songs. It has created about one thousand tunes, influencing musical education and popular music in Japan. This paper explores the characteristics and meanings of this program by focusing on its text as well as the processes of its production and consumption. My research involved conducting interviews with directors and distributing questionnaires to audiences. My aim is to explain the uses of this program by audiences through their everyday lives and how this TV program contributes to creating new children's songs. My conclusions are, firstly, that this program has a distinctive history that has been flexibly transforming songs into appropriate styles for children in the TV age. Secondly, these songs played a role in constructing a national collective identity for everyone (including grown-ups), especially from the 60s to the 80s, because these texts have functioned as 'national music' mediated by a state channel.
  • 角 知行
    新聞学評論
    1982年 31 巻 91-111
    発行日: 1982/06/01
    公開日: 2017/10/06
    ジャーナル フリー
  • 森田芳光の方法をめぐって
    上倉 庸敬
    映像学
    1989年 39 巻 26-38
    発行日: 1989/09/25
    公開日: 2017/07/31
    ジャーナル フリー

     Yoshimitsu Morita est un directeur de film qui attache beaucoup d’importance à la méthode de production. Sa méthodologie révèle non seulement une grande logique mais aussi une profonde sensibilité. Dans cet article à partir de la méthodologie de Morita, on peut découvrir un certain point de vue sur l’essence du cinéma.

     Dans son premier film, Morita se demandait s’il devait attacher l’importance à l’histoire elle-même ou à la façon de la raconter. Il donna la préférence à la façon de raconter, non pas à l’histoire elle-même, mais l’histoire des personnages.

     Il en est arrivé à ce que l’histoire des personnages expriment le temps de leur vécu quotidien, (c’est-à-dire) les moments spatials qui peuvent être mal interprêtes. Selon lui le film nous fait visionner les moments vides et spatials de la vie quotidienne et la nature de l’art cinématographique devient le quotidien et change les moments vides, graduès par la vision, en temps véritable qu’on vit.

     Le problème du cinéma est de changer le temps spatial en temps vécu, i. e., donner au vide du quotidien un sens et une âme.

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