本論は日本の説話に中空のイメージとして表れる心の在り様を検討した。また，その心の在り様を支持するために今日心理療法がなしうることを検討した。日本の説話における中空のイメージとは，神々やその富を宿すものであり，例えば衣に包まれた空間として表れた。それは人が神々を迎えんとする心の在り様を表していたといえる。説話とは本質的に観念ではなく神々と人とを関係づける行為であった。しかし，今日その本質は失われ説話は形骸化している。中空としてイメージされる心の在り様を支持するために心理療法がなしうるのは，説話がそうしていたように，主体と他者の関係を限りなく織り重ねることにあると考察した。

　«Kenrô-toshi : Kunopolis» (1960) est une des rares œuvres romanesques du jeune SHIBUSAWA. L’auteur prétend que «Le Diamant» (1959) d’André Pieyre de Mandiargues fut une de sources de cette œuvre. C’est une œuvre qui vaut la peine d’être étudiée de près,car, différentes opinions s’opposent à son sujet : certains critiques la considèrent comme un chef-d’œuvre, tandis que d’autres se demandent s’il ne s’agit pas d’un plagiat. Il semble que cette question du manque d’originalité ne concerne pas seulement «Kenrô-toshi» : on trouve le même problème à travers toutes ses œuvres romanesques. Nous considérons donc que c’est une problématique fondamentale de l’écriture de SHIBUSAWA.

　Dans «Kenrô-toshi», déjà, nous pouvons trouver presque tous les éléments typiques de l'univers littéraire de SHIBUSAWA. Par exemple, SHIBUSAWA emprunte au «Diamant» l'épisode d'un dieu animal et d’une fille qui ont une relation sexuelle dans un diamat, c’est-à-dire un espace géométrique. Nous pouvons trouver, dans l’œuvre de Mandiargues, de nombreux motifs géométriques dans des situations fantastiques et féeriques. La fréquence et la disposition de ces motifs dans «Le Diamant» sont significatives, car ils sont disposés, semble-t-il, de façon à ce que l'ensemble du texte présente une structure. Dans «Kenrô-toshi» également, il est vrai que l'on peut trouver des motifs géométriques, mais il est difficile de considérer qu’ils forment une structure. SHIBUSAWA ne comprenait pas sans doute la structure géométrique de l’ensemble du «Diamant», ou ne s'y intéressait pas. En s'inspirant du «Diamant», il a néanmoins composé «Kenrô-toshi» comme une œuvre d’un esprit tout à fait différent.

　SHIBUSAWA a créé un univers bizarré et déformé, dans lequel la cause et le résultat sont circulaires : on peut trouver plusieurs niveaux de rêves, et le rêve et la réalité s’entrecroisent ainsi que dans un tableau d’illusion visuelle. SHIBUSAWA cite aussi, ouvertement ou tacitement, d'utres œuvres littéraires que «Le Diamant», pour complexifier son propre univers romanesque. Nous avons donc considéré que «Kenrô-toshi» ne trouve en aucun cas sa place dans la lignée du «Diamant». SHIBUSAWA et Pieyre de Mandiargues diffèrent de nature, bien que l’on fasse fréquemment remarquer plutôt leurs ressemblances.

La comparaison des deux poètes, Reverdy et Breton, focalisée sur la différence du point de vue de la poétique, apparaît déjà dans les recherches antérieures, notamment à partir de la théorie de l’image. Cette dissemblance, par exemple dans l’étude d’Étienne-Alain Hubert, se trouve clairement démontrée et caractérisée, d’un côté par le mot « préméditation » et d’un autre côté par « spontanéité ». Cependant, on ne peut pas nier qu’elle soit maintenant devenue un stéréotype mis en place pour ne pas développer l’argument sur le lien entre les deux poètes. Dans cette étude, nous tentons de comparer Reverdy et Breton à travers leurs textes et de mesurer la distance entre les deux poètes, et cela, après la parution du « Manifeste du surréalisme » en 1924. Notre ambition consiste à élargir les perspectives sur leurs relations.

　Ryunosuke Akutagawa's “Hell Screen” (serialized in the Osaka Mainichi Shimbun from May 1-21, 1918) is known as one of his masterpieces. Many works, including Hebbel's “Judith,” have been pointed out as the source of “Hell Screen,” but this article argues that the most important literary source is in fact Pierre Louÿs’s “The Artist Triumphant” (originally titled “L'Homme de Pourpre,” translated into English by G. F. Monkshood in short story collection Woman and Puppet etc.).

　“The Artist Triumphant” is set in ancient Greece and tells the story of how the painter Palacios, well-known for his painting competition with Zeuxis, ends up creating the legendary work, Prometheus. “Hell Screen” and “The Artist Triumphant” have several things in common. These include a story told in the form of a recollection; the appearance of a ruler who conflicts with the artist; the important role of the artist's disciples and also activities of the artist that are inimical to the human mind. Above all, however, both focus their main attention on the supremacy of art over all else.

　Akutagawa read “The Artist Triumphant” in mid-January 1918, precisely when he was preparing for writing “Hell Screen”, and there is good reason to believe that he was inspired by it.