Le but de cet article est de présenter certaines perspectives pour le débat public sur la peine de mort en vue de l'abolition.
Au début, pour préparer la base de la discussion, j'ai revu le chemin parcouru par l'abolition mondiale de la fin de la seconde guerre mondiale jusqu'à la résolution de l'assemblée générale de l'ONU en 2007 et 2008.
Alors qu'aprés la seconde guerre mondiale, le nombre d'homicide au Japon a continué de réduire, la plupart des japonais croient qu'il a augmenté et que la société japonaise devient plus dangereuse à cause de la médiatisation des affaires criminelles. Ils se sentent en danger et s'inquiètent.
La première perspective présentée est la peine de mort comme un système d'état qui, vis à vis de l'inquiètude du peuple, l'utilise comme une excuse pour se présenter comme faisant face à l'insécurité et aux crimes. La peine de mort ne peut pas être la clef essentielle pour maintenir la sécurité, mais une société inclusive est importante pour réduire le crime.
La deuxième perspective est le droit pour la vie et la conception du «bien-être public». Dans la constitution, les droits du peuple sont limités seulement par le bien-être public. Il se pose alors une question: cette limitation peut-elle s'appliquer au droit pour la vie? Et en même temps, il faut identifier le bien-être conçu par le peuple japonais.
La troisième perspective est l'égalité du droit pour la vie. Cela dépendrait de la frontière que nous avons qui divise l'être humain «comme nous» et les autres.
À la fin de cet article, j'exprime la conviction dans le progrès des droits humains et dans le fait que l'abolition de la peine de mort sera atteinte par la levée des frontières entre nous et les autres.
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