En 1932, Kiyono Kenji écrivit une série dʼarticles sur lʼobservation « scientifique » des parties génitales dʼune femme criminelle. Les arguments de ce médecin de renom concernant le sexe de la criminelle furent basés sur
« lʼanthropologie criminelle ». Or, ses articles soi-disant « sérieux » firent lʼobjet de la censure. Nous allons décortiquer lʼaffaire Kiyono, afin de dévoiler l'hypocrisie et le délire du monde « académique » au Japon du XIXe-XXe siècle.
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