On sait la grande catastrophe a surgi au japon le 11 mars 2011. Etant donne cet evenement exceptionnel, la societe japono-francaise de Sociologic a organise la session pleniere du congres de 2011 sur le theme du risque et de l'insecurite avec la participation du specialiste francais, Henri-Pierre Jeudy.

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Le grand tremblement de terre qui est arrive dans l'est du Japon en mars 2011 a fait produire d'importants degats dans la vie quotidienne. Surtout, les matieres radioactives donnent un coup incroyable aux hommes et aux animaux, et puisqu'elles sont invisibles et les degats causes par elles se repercutent pour une longue duree, elles sont des exixtences sinistres. La difference des informations sur les matieres radioactives emises par le gouvernement japonais et le Tepco, compagnie d'electricite de Tokyo d'une part et celles fournies par les embassades de chaque pays, de l'autre, a fait augmenter les inquietudes des habitants, me semble-t-il. Entre le 11 et le 31 mars, les informations, y compris celles pour le soutien de la vie donnees pour les ressortissants francais, chinois,americains par leurs ambassades respectifs au Japon sur les pages des ambassades en ligne etaient tres differentes. Tout en apprenant que non seulement la France, les Etats-Unis et la Chine, mais les autres pays strangers ont fait evacuer leurs ressortissants respectifs du Japon, it y a des gens qui se trouvaient en depression a cause des inquietudes. On dit que le grand tremblement de terre de l'est du Japon est un sinistre naturel se produisant une fois chaque mine an, mais du point du vue de la prevention des sinistres et des approches prises sur les sinistres, un grand sinistre cause par les hommes s'ajoute. La vraie reconstruction ne pourrait etre accomplie que par transmetre les informations correctement et soutenir les regions sinistrees d'une meilleure maniere.

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Dans cet expose, nous reflechissons sur la societe des risques d'apres le 11 mars, dans la perspective de l'opposition entre le diabolique et le symbolique concernant la construction sociale. La societe moderne a apprivoise et meme <<adore>> des risques, a travers la suprematie de sa conception sociale symbolique. Dans la societe actuelle toutefois, ce symbolisme moderne perd sa pertinence, tandis que l'apparition des <<nouvelles risques>> entraine le cote diabolique, qui ne peut etre integre dans la ancienne conception symbolique. La catastrophe du 11 mars et surtout l'accident dans la centrale nucleaire nous obligent de distinguer des risques le <<danger>>. Nous sommes aussi forces d'observer attentivement la dimension fonctionnelle de la societe de surveillance, tout en doutant sur la fiabilite de la notion de <<confiance>>. La societe des risques <<authentique>> a ainsi besoin de tenir en compte le cote diabolique qui vient de surgir. Afin d'enrichir telle argumentation, nous introduisons d'ailleurs l'optique de la sociologie francaise (Durkheim, auteurs foucaldiens, ...) sur <<solidarite et integration>>, et celle de la sociologie allemande (Simmel, Luhmann, ...) sur <<association et dissociation>>. L'important comme concept-cle dans cet expose, c'est l'opposition entre le diabolique (ce qui entraine dissociation et particularisation) et le symbolique (ce qui entraine association et solidarite). On pourrait dire que leur equilibre dans le symbolisme moderne a permis de creer le <<social>>, mais dans le contexte actuel, on peut trouver plutot leur desequilibre, comme le montre tout simplement le <<danger>> qui surgit a partir des risques.

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Cet article a pour but d'examiner les textes de Pierre Bourdieu et de ses collegues a propos des changements culturels de l'enseignement superieur, afin d'ouvrir une possibilite de la mise en pratique de leurs recherches theoriques et empiriques dans la societe japonaise, ou les reformes neo-liberales ont provoque la marchandisation des etudes superieures plus fortement que la France. On peut retourver les origines de l'explication qui s'ecarte de la reproduction de la culture legitime bourgeoise dans leurs premieres oeuvres de Les heritiers et La reproduction. D'abord, le <<conformisme de l'anti-conformisme>> des etudiants dilettantes suscite <<la revolte contre la contrainte exterieure de la regle>>, en suivant <<une des voies par ou s'accomplit l'interiorisation des valeurs qu'impose la regle>>. Et puis, le <<retard culturel de la culture scolaire>> introduit le decalage entre le titre et le poste, en reproduisant avec un retard les <<changements survenus dans l'arbitraire culturel qu'il [le systeme d'enseignement] mandat de reproduire>>. La <<contradiction specifique du mode de reproduction a composante scolaire>> pose la question sur le decalage entre les possibilites statistiques et les resultats reels de la reussite scolaire et sociale dans La distinction. Elle devient un principe a la fois de la reproduction et de nombre des changements des structures sociales, par exemple, avec un developpement de la culture economique ou polytechnique des <<cadres modernes>> pour les <<nouveaux bourgeois>>. Dans un espace du pouvoir symbolique, les agents domines occupent une position particulierement ambigue, c'est-a-dire celle du <<cheval de Troie>> qui tend a importer des nouvelles cultures soit renovatives soit conservatrices, et qui revient aux sciences sociales a l'interieur du champ academique analyse dans Homo academicus. Il s'agit de reflechir sur les conditions sociales et historiques du conformisme a la demande socioeconomique qui contribue a diminuer l'autonomie de la culuture legitime, afin de lutter contre les politiques neo-liberales de nos jours. A cet egard, malgre les changements culturels, la proposition de la <<pedagogie rationnelle>> dans la conclusion de Les heritiers est encore efficace, parce qu'elle s'oppose aussi bien a l'enseignement traditionnel qu'a l'enseignement technocratique.

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