ル・コルビュジェにおけるル・モデュロール身体の相貌 : ル・コルビュジェの空間における色彩と身体存在

抄録

C'est a l'expression physionpmique du corps chez Le Modulor qu'on peut indiquer l'Etre a l'oeurve archltecturale de Le Corbusier. Sous cet angle, il nous faut souligner, surtout, "l'homme-le-bras-leve" chez Le Modulor. Car, l'homme-le-ras-leve n'est pas autre chose qul s'exprime en le sch6ma corporel le plus original par Le Corbusier, C'est a dire, le corps chez Le Modulor remonte soi-mgme dans le Corps fondamental qui s'unit entre ses peintures et ses oeuvres architecturaux comme on l'a etudie a l'article precedent (N° 353). Or, C'est a sa structure circulalre de l'interpretatlon de l'Etre que se manifeste le corps en l'Etre a l'espace archltectural. Sur ce polnt, il s'aglt de ce que joue l'ldee de couleur dans la totalite de l'oeuvre de Le Corbusler. A savolr, la couleur de Le Corbusier unlfie le double sens en l'expression, d'un cote, separee de la forme, comme le purlsme l'a enselgne, de l'autre c6t6. s'appuyee par l'espace plastlque la. Bref, cette couleur, s'etant fondee sur "le blanc eclatant" qui lul donne son espace prlmordlal, au fond, s'est constatee la en l'actlon spatlale de la sensatlon corporelle. La couleur du Purlsme est constitute par la theorie physlologlque en Psychophysique. Celle de Young Helmholtz occupe la plus centrale positlon et l'y explique comme sensation de la constitution du corps. De la, l'espace architectural de Le Corbusier exprime son corps sensorlel en l'Age Moderne. Le corps chez Le Modulor s'y decouvre celui de sensation a cette idee du Purisme, s'exprimant comme l'expression physionomique dans la sensation indiquee par la couleur vive. Or, il nous faut remarquer le "corps" dit par M. Merleau-Ponty pour mettre en question en ce qui concern "le corps et l'esprlt". Car, on peut dire ici que l'OEuvre Archltecturale de Le Corbusier devance admlrablement la pensee du corps par la phenomenologie du 20 eme siecle. Le corps de l'oeuvre de Le Corbusier pourralt done se relire dans celul de la phenomenologie du 20 eme siecle. M. Merleau Ponty ecrit dans "Resumes de Cours" (College de France, 1952-1960) que l'expression proprement dlte, telle que l'obtient le langage, reprend et amplifle une autre expression qui se devolle a l'"archeologie" du mond percu et que c'est "sur l'objet" (J. Paliard) et finalement dans la presence totale du monde que se falt la synthese perceptive, c'est dans, c'est par l' "implication" que la lumiere naturelle de la perception s'ouvre un chemin. D'ailleurs, "L'architecture, la sculpture et la peinture sont specifiquement dependantes de l'espace, attachees a la necessite de gerer l'espace, chacune par des moyens appropries. Ce qui sera dit ici d'essentiel, c'est que la clef de l'emotlon esth6tique est une fonctlon spatiale." dit Le Corbusler dans son ecrit "Le Modulor". ll en arrive a la conclusion qu'une profondeur sans bornes s'ouvre, efface les murs, chasse les presences contlngentes, accomplit le miracle de l'Espace lndicible. C'est dans cette ligne de la pensee phenom6nologlque par M. Merleau-Ponty qu'on peut trouver l'Etre qui, d'apres son mot, est un entrelacs de vislon et de mouvement. C'est a dire, le Corps de l'oeuvre de Le Corbusier est a l'etre qul traverse l'antinomie classique en realisme et scepticisme comme la pensee phenomenologique l'lndique. Or, d'apres notre etude (N° 367), il serait posslble qu'on lit l'ecart entre le Corps Grecque et Celui Gothique. En franchant cette ecart en son expression physlonomique des sensatlons vlves, l'§tre prlmordlal se

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