Dans cet article, notre propos est d'examiner le processus de formation et la portée de pensée d'Henri Lefebvre qui introduit le troisième médiateur de la ville dans la relation entre technique et société, en prenant comme fil conducteur la notion de « retard ». En même temps, nous introduisons un nouveau motif d' anticipation de l'avenir au milieu d'un retard à la discussion sur la théorie lefebvrienne du temps, qui a été discutée principalement en termes de rythme. Nous commençons en examinant pourquoi la « possibilité technique » devrait être disposés dans une relation opposée sur la vie quotidienne sous deux aspects : les influences intellectuelles et les problèmes pratiques de changement social. Ici, nous voyons qu'il y a la tentative lefebvrienne de succession critique du « possible impossible » chez Kierkegaard, et le problème actuel que le capitalisme ne change pas la vie à moins qu'il y ait une situation grave. Ensuite, en lisant l'argument de Lefebvre référençant le retard chez Marx et Galbraith, nous révélons qu'il y a des aspects du retard qui peuvent être remplacés par une image spatiale, et des aspects qui ne doivent pas être remplacés par une tel image, mais qui doivent plutôt être considérés dans une perspective temporelle. Enfin, en revenant sur la discussion du retard dans la théorie esthétique de l'œuvre qui précède la théorie spatiale, nous précisons que la ville comme « œuvre » n'est pas la solution au retard. Sur la base de l'idée de « milieu urbain », il est important de considérer la production de « l'œuvre », non pas comme une occasion d'améliorer la vie actuelle en introduisant les techniques, mais comme celle d'envisager la relation entre technique et société qui permet un style de vie différent tout en acceptant le retard.
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