Journal of The Japanese Society of Veterinary Science
Online ISSN : 1883-9193
ISSN-L : 1883-9193
Volume 1, Issue 4
Displaying 1-4 of 4 articles from this issue
  • KADZUO TSUGE
    1922 Volume 1 Issue 4 Pages 213-233
    Published: December 20, 1922
    Released on J-STAGE: February 19, 2009
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  • I. MORPHOLOGIE, TRANSMISSIBILITÉ, VOIES D'ÉLIMINATION ET MODE D'INFECTION
    KATSUYA KASAI
    1922 Volume 1 Issue 4 Pages 235-271_2
    Published: December 20, 1922
    Released on J-STAGE: February 19, 2009
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    Nous avons étudié trois varietés Spirochaeta laverani; c-a-d: la varieté humaine (Spirochaeta morsus muris), celle des souris sauvages et des souris blanches (Spirochaeta laverani s. muris). En résumé, les conséquences qui resultent de nos recherches en morphologie, transmissibilité, voies d'élimination et mode d'infection sont les suivants:
    1°. Spirochaeta laverani est un des plus petits et, à l'ultramicroscope, il apparaît sous l'aspect d'une spirale nonflexible, dont la section transversale est, selon toute probabilité, l'éllipse aplatie. Les. tours de spire sont réguliers et serrés, et leur nombre varie de II/2 à 7. La longueur du corps spiral est de 1, 6 à 7, 0μ et son épaisseur 0, 6 environ.
    La microbe possède à chacune de ses extremités un filament long et épais, montrant l'apparence d'une spirale peu serrée, dont la longueur est plus longue que celle de son corps (Fig. 1 et 2).
    2°. Sa dimension diftère un peu selon le genre de varieté et la varieté des souris blanches la plus grande est 3, 3μ en la longueur moyenne, celle des souris sauvages 3, 1μ et la varieté humaine la plus petite n'a seulement que 2, 9μ.
    3°. Spirochaeta laverani se colore aisément par les colorants usuels, et en particulier très nettement, par le bleu de Manson, par le Giemsa et par l'hématoxyline ferrée de Heidenhain. II ne prend pas le Gram.
    Pour la constatation de cils de Spirochaeta laverani, la coloration de Giemsa, après la fixation dans les vapeurs d'acide osmique, et les procédé de Fontana-Tribondeau et de Benians sont recommandées. La coloration vitale par le bleu de Manson présente le spirochète coloré en mouvement actif, mais elle ne montre pas la construction speciale de son corps.
    4°. Spirochaeta laverani présente des mouvements de progression très rapides dus à la rotation active des cils.
    5°. Ce spirochète paraît se reproduire seulement par division transversale.
    6°. La varieté humaine et celle des souris sauvages sont facilement transmissibles à la souris, le rat et le cobaye. La première aussi se transmet au jeune chat. Au contraire, la varieté des souris blanches he peut pas apparemment infecter le rat adulte et le cobaye, tandis que cette varieté est très virulente pour la souris es le rat jeune. Cependant les animaux, qui résistent à l'inoculation de la dernière varieté, peuvent aisément contaminer la souris par l'introduction de leur sang.
    7°. Passant par le corps des rats jeunes pour dix générations, la varieté des souris blanches s'augmente en virulence pour le rat et peut aisément infecter le rat adulte meme. Après deux passages par les cobayes, la meme varieté pouvait aussi se montrer microscopiquement dans le sang circulant de celui de la troisième génération.
    8°. La splénectomie fait le rat adulte complètement susceptible à la varieté des souris blanches et aussi beaucoup plus sensible à celle des souris sauvages.
    9°. Spirochaeta laverani ne semble pas etre éliminé par des crachats, des contenus intestinaux et des urines de l'animal infecté.
    10°. Nous ne pouvions pas déceler par l'examen microscopique le similaire spirochète dans les matières fècales des souris saines (45 souris sauvages et 9 souris blanches) et de celles naturellement inféctees (2 souris sauvages et 6 souris blanches).
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  • III. ÜBER DIE TREPANATION BEIM PFERDE
    SHIGEO MATSUBA
    1922 Volume 1 Issue 4 Pages 273-278
    Published: December 20, 1922
    Released on J-STAGE: February 19, 2009
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  • SHOICHI KONDO
    1922 Volume 1 Issue 4 Pages 279-291
    Published: December 20, 1922
    Released on J-STAGE: February 19, 2009
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    The investigations just outlined indicate that
    1. The anti-rabies serum from animals artificially immunized possesses a specific rabicidal property, while no other antibodies can be found in it.
    2. The serum from animals immunized by repeated injections with normal nerve material has a non-specific property against rabic virus.
    3. The rabicidal property of serum from naturally immune (refractory) animals can be a direct index of resistance against rabies infection.
    4. The union of rabic virus with anti-rabies serum takes place in multiple proportion as in the case of toxin and antitoxin. This fact indicates that even a slight degree of resistance against rabies in an individual can be detected by titrating the serum of the individual with a small dose of virus. From a practical point of view, it would be very interesting to indirectly standardize the value of a rabies vaccine by titrating the rabicidal property of serum taken from animals inoculated with the vaccine.
    5. The rabicidal property of the anti-rabies serum vanishes by heating at 80°C. for one-half hour, while no change takes place in rabicidal power of the serum by heating below 70°C. for onehalf hour.
    6. The optimum temperature and time for the union of rabic virus with anti-rabies serum are 37°C. and two hours respectively. A somewhat similar result is obtained by storing them at a temperature of from 18°-20°C. for twenty hours in a dark room.
    7. The protective injection of the anti-rabies serum into guinea-pigs inoculated with rabic virus has given satisfactory results. This may throw a light on the problem of utilizing anti-rabies serum for protective or curative purposes.
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