Dans cet article, nous remarquons les deux concepts, "personnalite" et "individualite" de l'individu lesquels Emile Durkheim a traites dans ses etudes du "culte de la personalite humaine", pour approfondir notre recherche sur l'autodetermination des vieillards. Nous pouvons considerer celle-ci comme un des droits legalement garantis. Nous pretons l'attention a la phrase suivante de Durkheim: "Meme quand les concepts que l'individu forme sont l'ouvres d'une personnalite, ils sont, en partie, impersonnels". La "personnalite" de l'individu n'est jamais son "individualite" mais la perspective elle-meme selon laquelle on met en question la socialite qui "[entre] en nous, [devient] ainsi partie de nous-meme". C'est cette socialite qui rend possible le culte de l'homme en tant que droit de l'individu. Nous considerons ici la realisation de la socialite comme garantie legale du droit de l'individu. Au Japon, tandis qu'on doit aborder le probleme des mauvais traitements physiques et economiques sur les vieillards, on a decrete la nouvelle loi titulaire pour des adultes qui garantit l'autodetermination des vieillards. Elle pourrait realiser la philosophie du bien-etre par laquelle toutes les vieillards recoivent la sauvegarde de leurs droits de l'homme et le respect de leur personnalite. Mais ce n'est pas la philosophic du bieneire mais la garantie legale qui nous permet de respecter la personnalite des vieillards et leurs droits. Sans garantir l'autodetermination devant la loi, on ne pourrait jamais etablir le culte de la personnalite des vieillards. De ce point de vue, nous reconsiderons la "generalite" et l'"anonymat" dans le culte de la personnalite humaine, selon la distinction par Durkheim entre la "personnalite" et l'"individualite".
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