Une serie d'erneutes et d'agressions qui se sont produites en automne 2005 semblent importantes, voire decisives pour prevoir l'avenir de la France. L'emeute montre bien que la France est profondement divisee et le fosse ne peut qu'etre comble. Pour rendre compte du phenomene, il faut, au moins, remonter au moment ou l'Algerie etait encore colonisee par la France. La politique coloniale et la guerre d'Algerie ont pousse des paysans algeriens a emigrer vers la Metropole. Cette entree massive d'Algeriens et d'autres Maghrebins qui serait l'origine de l'emeute, etait alors ignorde par les sociologues francais. Paradoxalement, seul le Front National a mis a jour des contradictions profondes de la societe francaise causees par l'immigration des Maghrebins. Il serait temps de voir de plus pres ces contradictions.

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Les animaux totemiques sont des figures animales variees dans lesquelles certaines communautes en Herault s'y identifie depuis le moyen age. Chaque communaute a un animal propre comme le poulain de Pezenas, l'ane de Gignac, le chameau de Beziers, ou bien le boeuf de Meze. De tels objets dits traditionnels existaient au XIX^<eme> siecle partout en Herault, mais ils ont progressivement disparu. Neanmoins, pendant ces trente ou quarante dernieres annees, nous pouvons remarquer la <<renaissance des animaux totemiques>>. Pour comprendre ce phenomene d'une maniere concrete, nous avons analyse le systeme culturel qui fonctionne dans le cas des animaux totemiques en Herault. Nous avons pose la question comme suit: pourquoi choisissent-ils un <<animal>> comme symbol ou embleme de leurs communautes au lieu de choisir leurs symbols uniques separement? Nous supposons qu'il y a des raisons culturelles derriere ces choix des communautes Heraultaises. Notre reflexion, c'est que le principe du cosmos des animaux totemiques en Herault est base sur la <<diversite des especes>> des animaux et la <<discontinuite ultime>> du reel; comme Levi-Strauss l'a dit sur le totemisme. Pour cette raison; ce systeme culturel est convenable pour obtenir une identite propre en gardant une identite regionale, donc pour renaitre.

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One feature of P. Bourdieu's sociological theory is the emphasis on epistemological reflection. According to Bourdieu, any sociologist has to examine the conditions and limits of his sociological methodologies or theories. This is one of the principles that determines whether the research qualifies as sociological science. Bourdieu refers to these principles, taken together, as the "theory of sociological knowledge." Bourdieu uses the methodologies and theories of many researchers in his work. When he does, he always uses the theory of sociological knowledge, which means he analyses their methodologies or theories at the epistemological level to test for epistemological agreement among different thinkers. Doing so allows Bourdieu, or any sociologist, to find common ground among authors who are considered to have very different sociological theories (such as M. Weber and E. Durkheim). We are also able to find agreement among authors whose studies are from different times and places. On this basis, Bourdieu adopts many of Weber's ideas in his work. For example, when Bourdieu uses Weber's "Ideal Types" in his work, he examines the conditions and limits of its validity. Bourdieu, therefore, builds on Weber's work, using Weber's methodologies in Le metier de sociologue and his theories in "Une interpretation de la theorie de la religion selon Max Weber". In this article, I argue that both Weber and Bourdieu accept that while members of society follow certain routines, they nevertheless act freely in their decision-making. The routines develop as unintended consequences of their decision-making. We can't reduce the routines to the subjective intentions of people. These points of agreement between Bourdieu and Weber have important meaning because they make it possible to unify their theories.

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