Folia Endocrinologica Japonica
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Volume 5, Issue 7
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  • Tokutaro Yasuda
    1929 Volume 5 Issue 7 Pages 1165-1190,63
    Published: October 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Nous avons montré, dans P'étude précédente, que, Pablation des testicules diminuant les oxydases des tissus et la ligature du canal déférent ou l'injection d'extrait des testicules vaséctomisés les augmentant très notablement, la glande interstitielle joue ainsi un certain roöle dans l'oxydation intracellulaire.
    Voyons maintenant quels rapports a l'ovaire avec les oxydases des tissus. Mais, comme la sécrétion interne de l'ovaire est généralement beaucoup plus compliquée que celle du testicule, nous avons employé pour nos expériences quatre sortes de substances ovariennes de vache : ovaire total, corps jaune, tissu interstitiel et liquide folliculaire. Voici en résumé les résultats obtenus :
    1°L'ovariectomie chez la lapine adulte entraine au boutde 2 ou 3 mois une diminution nette des oxydases dans le coeur, le foie et le rein.
    2°Chez la lapine adulte normale, à la suite de l'ingestion de poudre d'ovaire total, on constate une augmentation très notable des oxydases dans tous les organes.
    3°Mais, au contraire, avec le corps jaune, on observe par l'examen histologique que les oxydases diminuent notablement dans le coeur, le rein et le foie, tandis que les gouttelettes graisseuses augmentent beaucoup dans tous les organes et par 1' examen chimique que la quantite des oxydases ne diminue considerablement que dans le coeur seul. Quant a l'utérus, la réaction oxydasique révéle la modification fine de l'activitéfoctionnelle de Putérus : dans Putérus normal, it n'y a que peu de granulations oxydasiques dans la muqueuse et dans la glande et le muscle utérin en est presque dépourvu ; Putérus castrédonne toujours la réaction négative. Au contraire, dans Putérus de la lapine alimentée avec le corps jaune, les granulations oxydasiques augmentent très considérablement dans la muqueuse, la glande, surtout dans le muscle. De là, it nous semble que le corps jaune inhibe l'oxydation intracellulaire dans le coeur, le foie et le rein, tandis qu'il l'excite dans Putérus. 4°Aprè l'ingestion de tissu interstitiel, c'est-à-dire d'ovaire débarraséde corps jaune, on observe par l'examen histologique seul que, chez la lapine adulte entièe, les oxydases augmentent très légèrement dans le coeur, le foie et le rein, tan, dis que, chez la lapine adulte castrée, elles s'accroissent jusqu'au niveau normal ou au-dessus. Et la réaction oxydasique est complètement négative dans Putérus entiere aussi bien que dans l'utérus castre. II en résulte que le tissu interstitiel et le corps jaune de Povaire ont l'action antagoniste sur les oxydases des tissus et qu'il existe dans le tissu interstitiel une certaine substance capable d'inhiber les oxydases de Puterus.
    5°2 heures aprè les injection intraveineuses d'extrait de tissu interstitiel et de corps jaune aux lapines adultes normales, on voit que la première injection augmente un peu les oxydases dans le coeur et le foie, tandis que la dernière ne produit aucune modification des oxydases dans tous les organes.
    6°Les 3 ou 4 injections intrapéritonéales de liquide folliculaire á la lapine impubère entière ou à la lapine adulte castrée semblent être sans action sur les oxydases dans le coeur, le foie et le rein. Mais, Putérus castré, les oxydases s' accroissent au niveau normal ou au-dessus ; après 6 ou 7 injections, les granulations oxydasiques augmentent très considérablement dans la muqueuse et la glande utèrine.
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  • Tokutaro Yasuda
    1929 Volume 5 Issue 7 Pages 1191-1213,65
    Published: October 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Malgré les nombreuses littératures, les rapports de la glande sexuelle avec les glandes à, sécrétion interne sont encore l'objet de discussions. J'ai maintenant recherchéchez les rats blancs quelle influence a le testicule sur la structure histologique de la thyroïde et de l'hypophyse.
    1°Castraticn-La thyroïde ne présente aucune modification de poids. A la périphérie de la glande, on voit histologiquement quelques grosses vésicules remplies de colloïde et à épithéliumaplati ; mais, à la partie centrale, les vésicules deviennent petites ou presque disparaissent, la colloide moins dense, l'épithélium haut ou cylindrique et parfois se développe fortement à Pinterieur de la vésicule. Cette prolifération des cellules vésiculaires est déja remarquable chez la femelle vers le Ier mois et chez le mâle vers le 2e mois. On observe en général la congestion des capillaires. Dès le 3e mois, la prolifération des tissus conjonctifs et la dégénérescence d'une partie des cellules vésiculaires commencent à apparaitre ; cette dernière tendance est remarquable surtout chez la femelle. Il est donc à supposer que l'ablation des glandes sexuelles s'accompagne de Phyperfonctionnement cornpensatrice, et puis, de Phypofonctionnement de la thyroïde par son atrophie. On peut constater, dés le 1erer mois, l'apparition des cellules de la castration dans le lobe antérieur de l'hypophyse.
    2°Alimentation -Le poids de la thyroide diminue légèrement, lorsque les rats blancs ont été nourris d'une grande quantité (I.0 gr. par jour) de poudre du testicule de taureau. Il n'y a, chez les rats alimentés pendant 20 jours, aucune modification dans la structure de la thyroïde, tandis que les vésicules deviennent généralement petites chez cenx qui sont alimentés pendant 30 jours ou 44 jours et que la colloide est mince ou presque disparaît de la vésicule. Les épithéliums deviennent hauts et cylindriques, et leurs noyaux plus gros et arrondis ; it y a quelques vésicules dont les épithéliums desquament et tombent dans la cavité vésiculaire, laquelle donc est remplie de grosses cellules arrondies. Dans Pîlots interstitiel, on voit la prolifération des cellules vésiculaires. Chez les rats qui sont alimentés pendant 44 jours, les tissus conjonctifs se développent et les cellules vésiculaires dégénerent. Alors, it se conclut que la thyroïde manifeste, par l'alimentation du poudre de testicule, des signes de légère hyperthyroïdie. Dans le lobe antérieur de l'hypophyse, on constate Phyperémie et l'augmentation du nombre des cellules éosinophiles.
    3°Ligature-A la suite de la ligature du canal déférent, le testicule présente la régression atrophique : au 1er mois lesspermatides disparaissent et au 2e ou 3e mois les spermatocytes dégénèrent. Dans certains cas, les tubes séminifères deviennent yides par la disparition totale des cellules séminales sauf les cellules de Sertoli, alors que les tissus interstitiels et les cellules interstitielles restent intactes ou augmentent très légérement. Au 3e mois, on observe parfois la régènération des cellules séminales et le rétablissement de la spermatogenèse. Au contraire, la thyroïde manifeste, après l'intervention, les signes de Phyperthyroïdie comme suivants
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  • Einfluss der Serumanaphylaxie und Nahrung.
    M. Komuro
    1929 Volume 5 Issue 7 Pages 1214-1233,68
    Published: October 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Die Resultate waren folgende:-
    1) Die kurz nach der Insulininjektion auftretende initiale Hyperglykamie ist in Kaninchen starker bei der Injektion des Pferdserums und bei Serumanaphylaxie.
    2) Die mit Gemüse ernährten Kaninchen des gleichew Wurfes sind gegen Adrenalin unempfindifch, gegen Insulin dagegen empfindlich. Die mit Hafer ernährten Kaninchen sind gegen Adrenalin empfindlich, gegen Insulin dagegen unempfindlich. Doch ist dies nicht stets der Fall.
    3) Bei den Kaninchen, die durch Gemtisenahrung vagotonisch geworden sind, zeigt sich nach Insulininjektion stärkere initiale Hyperglykämie.
    4) Aus den obenerwähnten Resultaten ist ersichtlich, dass die initiale Hyperglykämie nach der Insulininjektion auftreten kann, wenn die Konstitution durch irgend eine Ursache verändert wird und es dadurch zu Vagotonie kommt.<BR.5) Die initiale Hyperglykämie nach der Insulininjektion tritt stark hervor, wenn es im Tiere zu Vagotonie gekommen ist, gleichgültig auf welche Weise man das bewerkstelligt hat.
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  • M. Komuro
    1929 Volume 5 Issue 7 Pages 1234-1245,69
    Published: October 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Der Verfasser studierte die Beziehung zwischen der Milz and den zwei Hormonen, Adrenalin und Insulin, die den Blutzuckerspiegel antagonistisch beeinflussen.
    Als Versuchstiere wurden Kaninchen gebraucht und al s Methode der Blutzuckerbestimmung das neue Bangsche Verfahren.
    Die Resultate waren die folgenden :
    1) Bei den milzlosen Kaninchen stieg der Blutzuckerwertdes nüchternen Tieres in vielen Fällen eine Woche nach der Operation an.<BR.2) Die Adrenalinhyperglykämie wurde nach der Milzexstirpation verstärkt und durch die spätere Schilddrüsenexstirpation gehemmt.
    3) Die Insulinhypoglykamie wurde nach der Milzexstirpation gehemmt und durch die spiitere Schilddrilsenexstirpation verstärkt.
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  • Epithelkörperchen und Durchlässigkeit des Magen-Darmkanals für heterogene Eiweiss.
    Piung-Hun Ri
    1929 Volume 5 Issue 7 Pages 1246-1298,70
    Published: October 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    1) Wenn man dem erwachsenen Kaninchen per os ziemlich grosse Menge von Eiereiweiss gibt, so sieht man, dass es durch die Schleimhaut des Magens in den Kreislauf kaum übergehen kann, aber dass es durch die Schleimhaut des Darmes in geringer Menge in den allgemeinen Kreislauf resorbiert wird. Von Darmschleimhaut resorbiertes Eiereiweiss wirkt als Antigen und lasst ziemlich starke Immunisierung des Versuchstiers erzielen.
    Bei Parathyreoidektomiertem Kaninchen geht das per os, gegebene Eiereiweiss reichlich durch die. Schleimhaut des Magens und des Darmes in den allgemeinen Kreislauf über, aber bei diesem Kaninchen, trotz der reichlichen Resorption des Antigens, ist die Erzielung der starke Immunisierung unmöglich.
    2) Gibt man dem gesunden Kaninchen per os Eiereiweiss. wiederholend, so bekommt die Schleimhaut des Verdauungstraktus : eine eigentiimliche Beschaffenheit und Durchlässigkeit des Eiereiweisses wird immer geringer und endlich iässt die Schleim-baut Eiereiweiss nicht mehr durchgehen
    Bei Parathyreoidektomiertem Kaninchen dagegen bekommt die Schleimhaut des Verdauungstraktus nie solcbe eigentümlichen Charakter und lässt Eiereiweiss wie früber reichlich in den Kreislauf übergehen.
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  • T. Takahashi
    1929 Volume 5 Issue 7 Pages 1299-1307,71
    Published: October 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Der Verfasser führte an weissen Ratten wiederholte. Epithelkörperchenextraktinjektion aus und untersuchte 7-21 Tage später die histologischen Veränderungen der Schilddrüse. Bei der subkutanen Injektion von 2% igem Epithelk6rperchenextrakt wurde täglich per Tier 0.5-1.0 ccm gegeben. Das Körpergewicht und das Gewicht der Schilddrüse solcher Ratten nahmen auffallend ab. Hinsichtlich der histologischen Veränderungen der Scbilddrüse zeigte sich im Friihstadium das Bild der Hypofunktion, d. h. die Follikel waren prall mit Kolloidsubstanz gefullt und vergrössert, die Epithelzellen sehr abgeflacht, die Blutgefässe vermindert. Spater f and sich das Bild der Degeneration vor, i. die Follikel waren auffallend desquamiert und bier und da sah man übriggebliebene Follikel. Die Epithelzellen waren sehr abgeflacht und degeneriert, das Bindegewebe hatte an Ausdehung stark zugenommen. Die Blutgefässe zeigten deutliche Hypertrophie der Gefässwand. Daraus schliesst der Verfasser, dass die Epithelkörperchen und die Schilddrilse antagonistisch zueinander wirken.
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  • T. Kamei, T. Sasaki
    1929 Volume 5 Issue 7 Pages 1308-1331,72
    Published: October 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Da einerseits das Glutathion nach Hopkins bei der OxydoReduktion der Zelle eine grosse Rolle spielt, anderseits das Hormon auch dem intermediären Zellstoffwechsel eine spezifische Triebkraft liefert, lässt sich annehmen, dass das Hormon selbst zum Glutathion in der engsten Beziehung steht. tinter dieser Annahme bemiihten sich die Verfasser nach Tunnicliffe (Stärke-indikator) an Ratten mit experimentell gestörter inkretorischer Funktion das reduzierte Glutathion der Organe zu bestimmen.
    Die Resultate waren die folgenden.
    1) Bei der Schilddriisenpulverfiitterung (0,005 g pro die und Kopf 14 Tage lang) kommt es zur Vermehrung des reduzierten Glutathiongehalts in Gehirn, Leber und Niere, besonders stark in der Leber, dagegen zu leichter Vermehrung in der Milz und Hoden und zu keiner Veränderung im Herzen und Muskel.
    2) Bei der Thyreoidektomie neigt (16-19 Tage nach der Operation) der Glutathiongehalt in den meisten Organen, wieLeber, Niere, Milz, Herz und Muskel, besonders stark in der Leber, zur Vermehrung und zur Verminderung nur im Gehirn.
    3) 20-5o Tage nach der Milzexstirpation findet sich Tendenz zur Vermehrung des Glutathions in Leber, Niere und Herz, besonders stark in der Leber, wahrend in den sonstigen Organen, wie Gehirn, Submaxillardriise, Muskel undj Haut, keine Veranderungen festzustellen sind.
    4) Bei der Hodenexstirpation ist 21 Tage nach der Operation noch kein erkennbarer Einfluss auf den Glutathiongehalt zu erkennen.
    5) Bei der Ovariumentfernung (20 Tage nach der Operation) zeigt sich eine geringe Neigung zur Vermehrung des Glutathions in Leber, Niere, Herz, Submaxillardriise und Haut, dagegen keine Veränderung in Gehirn, Milz und Muskel.
    6) Die Fütterung von Hodenpulver (0, 2 g pro die und Kopf 11-20 Tage lang) führt zu Glutathionverminderung in den meisten Organen, wie Gehirn, Leber, Niere, Milz, Herz, Submaxillardriise und Hoden, während in Muskel und Haut die Tendenz zur Vermehrung erkennbar ist.
    7) Bei der Fiitterung des Zwischengewebes des Ovariums (einschliesslich des Follikelwassers) (o, ig pro die und Kopf 7 Tage lang) zeigt der Glutathiongehalt der Leber und Niere leichte Verminderung, in den sonstigen Organen wie Gehirn, Milz, Herz, Muskel und Haut aber keine Veranderung.
    8) Die F-ütterung mit Corpus luteum bewirkt geringe Vermehrung des Glutathiongehalts in Leber, Niere und Milz, in den fibrigen Organen aber keine besondere Veranderung. Die Resultate der Ovariumfiitterung unter (7) und (8) zeigen, dass zwischen dem Interstitium und dem Corpus luteum ein Antagonismus bezug auf den Glutathiongehalt der verschiedenen Organe besteht.
    9) Vergleichen wir unsere obenerwähnten Resultate bezüglich des Glutathiongehalts mit denen hinsichtlich des Gaswechsels, die von verschiedenen Untersuchern bei veränderten Funktion der Inkretorgane gewonnen worden sind, so finden wir, dass meistensin den Geweben, wo verrnehrte Atmung stattflndet, der reduzierte Glutathiongehalt sich vern-iindert nnd umgekehrt.
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