Folia Endocrinologica Japonica
Online ISSN : 2186-506X
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Volume 5, Issue 8
Displaying 1-8 of 8 articles from this issue
  • [in Japanese]
    1929Volume 5Issue 8 Pages 1349-1359
    Published: November 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
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  • T. Yasuda
    1929Volume 5Issue 8 Pages 1361-1380_1,75
    Published: November 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Les capsules surrénales sont les organes indispensables du maintien de la vie. D'après plusieurs auteurs, ce qui joue un role vital dans la surrénale, c'est la corticale, mais non la medullaire. À ce point de vue, nous avons récernment pratiqué chez des lapins et des rats blancs quelques expériences sur la surrénalectomie.
    1° Les deux surrénales ont été extirpée en deux temps à, 8 rats avec un intervalle de 20 OU 3o jours. Les 7 rats moururent en 6 jours ; un rat seul survécut pendant 25 jours, chez lequel l'autopsie révélait l'existence de la surrenale accessoire.
    2°Nous avons extirpé une surrénale à 8 rats et, aussitôt, nous l'avons implantée tout entière dans le muscle abdominale ; après 20 ou 30 jours, nous avons extirpé l'autre surrénale. Les 7 rats moururent en 3 jours et un rat seul survécut pendant 20 jours, chez lequel nous avons trouvé à l'autopsie une surrénale accessoire. D'après l'examen histologique, les greffons se résorberent completement dans tous les cas. On ne peut jamaisconstater la régénération de la corticale ou de la médullaire.
    3° Nous avons extirpé une surrénale à 25 rats et aussitôt implanté les morceaux de la corticale dans le muscle abdominale ; après 20 ou 3o jours, l'autre surrénale fut extirpée. Les 14 rats moururent en 4 jours et les 4 rats en 9, 10, 13 et 26 jours. Les 7 autres rats ont survécu indéfiniment, et, lorsqu' ils ont été sacrifiés 3 ou 4 mois après la seconde extirpation, nous avons trouvé dans 6 cas la surrénale accessoire de 2 mg à 15 mg à structure corticale. D'après l'examen histologique, on ne peut constater aucune conservation de la corticale greffée ; le greffon semble être résorbé completement dans tous les cas.
    Les délais de survie se prologent généralement dans cette expérience plus que dans les deux premières. 11 est possible d'attribuer ces delais de survie à l'hypertrophie de la surrénale accessoire, mais on peut aussi supposer l'existence d'autre cause. Mais it n'est pas encore claire si cela est de la fonction du greffon lui-même ou de l'absorption de la corticale greffée.
    4°Nous avons examine dans nos expériences ci-dessus les modifications histologiques des diverses glandes à sécétion interne. Chez les rats qui sont morts en 10 jours, la thyroïde présente les signes de Phyperthyroïdie et cet hyperfonctionnement marqueéde la thyroïde se manifeste 24 heures après la seconde extirpation. Au contraire, chez ceux qui sont morts après 2D jours, l'accumulation de la colloïde à Pintérieur des vésicules devient de plus en plus remarquable suivant que les jours se passent. Et, chez les rats qui ont survécu indéfiniment et qui ont été sacrifiés 3 ou 4 mois après la seconde extirpation, la thyroïde montre l'hypofonctionnement semblable à l'aspect histologique du goitre colloïde. Il semble donc que, après la surrénalectomie bilatérale, la thyroïde manifeste d'abord l'hyperfonctionnement marqué et puis la fait revenir à l'état normal au travers de son hypofonctionnement par l'hypertrophie de la surrénale accessoire. On ne peut observer aucunes modifications histologiques dans l'hypophyse, le thymus, le pancréas et la glande sexuelle.
    5° Quand on extirpa par laparotornie aux lapins les deux surrénales en un seul temps, tous moururent en 5 heures.
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  • T. Yasuda
    1929Volume 5Issue 8 Pages 1381-1394_1,77
    Published: November 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Nous avons tenté les expériences sur les cytotoxines de la cortico-surrénale pour éclairer les modifications histologiques des autres glandes à sécrétion interne par la destruction elective de la corticale des capsules surrénales.
    Après les injections répétées d'une émulsion de substance corticale de cobayes à 2 lapins, on a injecté à deux ou trois reprises le sérum de lapins à 13 cobayes. Les animaux sont sacrifiés 10 à 40 jours aprés la dernière injection.
    1° Tous les cobayes ont resté en bonne santé; ils ne présentent aucunes manifestations de l'anorexie, de la dépilation et de l'amaigrissement etc.
    2°La rnédullaire de la surrénale reste intacte, mais on voit dans la corticale deux sortes de modifications histologiques comme suivantes :
    A) Les cellules de la glomérulaire ne sont nullement modifiées; dans la fasciculée, on constate la dégénérescence vacuolaire avec pycnose du noyau. La réticulée est normale. ll existe des hemorragies dans les couches de la corticale.
    B) La glomerulaire est intacte. La couche de la fasciculée devient très etroite et, dans quelques cas, les cellules de la fasciculée subissent la dégénérescence vacuolaire. La réticulée se multiplie fortement et parfois atteint jusqu' à la glomérulaire ; leur cellules se colorent beaucoup plus par l'éosin que normalement.
    On peut donc savoir que d'abord la fasciculée seule se detruit par les cytotoxines de la cortico-surrénale et que plus tard la réticulée se multiplie fortement.
    3° Après la fixation par l'acide osmique, nous avons examiné histologiquement les lipoïdes de la corticale. Les lipoïdes alors diminuent beaucoup dans la glomérulaire, et, dans certains cas où l'on peut constater la prolifèration de la reticulée, ils disparaissent presque complètement dans la fasciculée et la réticulée.
    4° La thyroïde, Phypophy se, le pancréas et la glande sexuelle ne se modifient pas histologiquement. On peut donc dire que ce degré de destruction de la corticale par les cytotoxines ne peut encore déterminer aucunes modifications histologiques dans les autres glandes à sécrétion interne.
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  • I. Mitteilung. Ueber den Einfluss der Nebennierenexstirpation auf den Kohlensäuregehalt und die Wasserstoffionenkonzentration des Blutes.
    K. Ichikawa
    1929Volume 5Issue 8 Pages 1395-1409,78
    Published: November 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Der Verfasser untersuchte beim Kaninchen den Einfluss der einzeitigen oder zweizeitigen totalen Nebennierenexstirpation auf den CO2-gehalt und die Wasserstoffionenkonzentration des Blutes. In alien Fällen wurden die Nebennieren (extraperitoneal) vom Rücken her entfernt.
    Der CO2-gehalt wurde nach der van Slykeschen und die Wasserstoffionenkonzentration nach der Michaelisschen Methode bestimmt.
    Die Resultate sind die folgenden :
    1) Bei den kurz nach der Operation gestorbenen Versuchstieren findet man im Blut Schwankungen des CO2 gehaltes und PH-wertes, die unbestimmbar sind. Meistens ist Azidose, doch zuweilen auch Alkalose nachweisbar.
    Diese Schwankungen sind nicht nur auf den Nebennierenausfall, sondern auch auf den operativen Eingriff zurückzuführen.
    2) Bei den am Leben gebliebenen Kaninchen findet sich im Blute Abnahme des CO2gehaltes und PH-wertes (Azidose), die jedoch im Laufe mehrerer Tage der Norm Platz macht.
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  • II. Mitteilung. Ueber den Einfluss der Nebennierenrinde und die Wechselbeziehung zwischen Nebennierenrinde und Schilddrüse, Nebennierenrinde und Insulin.
    K. Ichikawa
    1929Volume 5Issue 8 Pages 1410-1431,79
    Published: November 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Versuchstier : -Männliche Kaninchen.
    Versuchsmethode : - Ganz gleich wie in der I. Mitteilung.
    Resultate : 1) Bei der Fütterung mit Nebennierenrindensubstanz (0.7 bis 1.0 g per Kopf, einmal täglich) nimmt der CO2 gehalt des Blutes in der Mehrzahl der Fälle zu und dement. sprechend der PH-wert.
    2) Die Nebennierenrindenfütterung wirkt hemmend auf die durch Schilddrüsensubstanz hervorgerufene Abnahme des CO2, gehaltes und PH-wertes des Blutes.
    3)Die wiederholte Insulininjektion (Toronto : 1/3 klin. E. H. per Kg ubkutan einmal tägl.) ruft bei mit Nebennierenrinde gefütterten Kaninchen stärkere Zunahme des CO2-gehaltes und PH-wertes des Blutes als die Nebennierenrindenfütterung allein hervor, wäin-end bei der einmaligen Insulin oder Insulintraubenzuckerinjektion (Insulin : 1/3-6 klin. E. H. per Kg oder per Kopf, subkutan) der Kontrolle gegenüther kein deutlicher Unterschied zu sehen ist.
    4) Am Kaninchen führt die einmalige oder wiederholte intravenöse Adrenalininjektion (0.001 bis 0.15 mg per Kopf) zu einer mächtigen Azidose.
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  • M. Komuro
    1929Volume 5Issue 8 Pages 1432-1442,80
    Published: November 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Der Verfasser studierte den Insulin-und Adrenalinblutzuckerspiegel mittels der neuen Bangschen Methode, nachdem er das reticuloendotheliale System des Kaninchens mit Tuschenlösung blockiert hatte.
    Die Resultate waren die folgenden :
    1) Die Insulinhypoglykämie wird anfangs kurz nach der Tuschenlösungsinjektion gehemmt und dann mit der Zeit gefördert. Nach zweimaliger Injektion (einmal täglich) sieht es aus, als ob die Insulinhypoglykämie gehemmt würde.
    2) Die Adrenalinhypoglykämie tritt kurz nach der Tuschenlösungsinjektion schwach auf, bleibt aber länger bestehen. Nach zweimaliger Injektion (täglich einmal) wird die Adrenalinhyperglykämie deutlich gehemmt.
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  • T. Takahashi, T. Suematsu
    1929Volume 5Issue 8 Pages 1443-1459,81
    Published: November 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Die Verfasser führten an weissen Ratten, wiederholt subkutane Gyn.ergeninjektion, aus (teils o, oiccm, teils 0.5ccm täglich per Tier) und uutersuchten 10-20 Tage später die histologischen Veränderungen der innersekretorischen Organe.
    Das Körpergewicht nimmt ab. Die Schilddrüse zeigt leichtgradige Gewichtsabnahme und histologisch das Bild der Hyperf unktion. Die Hypophyse zeigt Gewichtsabnahme und histologisch Verminderung und Atrophic der Eosinophylen, stärkeres Auftreten der Kolloidsubstanz und Stauung der Blutgefässe in der Vorderlappen. An der Thymusdrüse finden, sich auffallende Gewichtsabnahme und mikroskopisch Atrophic des Markes, Verminderung der Hassallschen Körperchen und dcr Blutgefässe.Das Pankreas lässt keine auffallende Gewichtsabnahme, dagegen histologisch Verkleinerung der Drüsenalveolen, Verminderung der Zymogenkörner und Kernteilung erkennen. Nebenniere und Keimdrüdse weisen auffallende Gewichtszunahrne, aber keine histologische Veränderung auf. Aus den obigen Ergebnissen geht hervor, dass es durch die subkutane Injektion von Gynergen wahrscheinlich primär zu Hyperfunktion der Schilddrüse und sekundär zu histologisehen Veränderungen der Hypophyse, der Thymusdrüse, und des Pankreas kommt.
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  • T. Takahashi
    1929Volume 5Issue 8 Pages 1460-1468_1,82
    Published: November 20, 1929
    Released on J-STAGE: September 24, 2012
    JOURNAL FREE ACCESS
    Der Verfasser untersuchte an Ratten 10-20 Tage nach wiederholter subkutaner Injektion (0.2-0.3 ccm täglich per Tier) von R adiumwasser (Bromradium, 2000 Machin 2.0 ccm) die histologische Veränderung der Schilddrüse.
    In der Schilddrüse nahm das Gewicht im Frühstadium zu, die Follikel waren histologisch prall mit Kolloidsubstanz gefüllt, die Epithelzellen sehr abgeflacht und die Blutgefässe vermindert, d. h. die Schilddrüse zeigte das Bild der Kolloidstruma. Später fand sich das histologische Bild der Atrophie und Degeneration, d. i. die Follikel waren auffallend desquamiert, und bier und da waren übriggebliebene Follikel zu konstatieren.
    Die Epithelzellen waren sehr abgeflacht und degeneriert, und das Bindegewebe hatte an Ausdehnung stark zngenommen. Die Blutgefässe zeigten Verminderung und deutliche Hypertrophie der Gefässwand. Das Schilddriisengewicht hatte natürlich auf-fallend abgenommen.
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